317 – Oh! quel repos, quand le mal…

1
Oh! quel repos, quand le mal m’environne,
D’tre conduit.
Autour de moi ton tendre amour rayonne
Quand il fait nuit.
Et pas pas, je vais en mon chemin,
Toujours tenu par ta fidle main.

2
Ah! trop longtemps, n’acceptant point de matre,
Manquant de foi,
Pauvre insens, je ne voulais pas tre
Conduit par toi.
Et l’ennemi s’attachait mes pas,
Et m’entranait o je ne voulais pas.

3
Mais maintenant que tu m’as fait connatre
Ton grand amour,
Je ne pourrais sans toi, bien-aim Matre,
Vivre un seul jour.
Je t’appartiens, mon coeur aime ta loi,
C’est mon bonheur d’tre conduit par toi.

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